[L’autrice] est un peu la grande reine du hopepunk actuellement aux États-Unis ; elle est présentée comme la solution à la morosité ambiante en science-fiction. Le hopepunk montre qu’il y a toujours des solutions possibles, qu’on peut rebâtir et qu’il y a quelque chose à raconter après la fin du monde. Là, c’est la capitaine du vaisseau qui écrit son journal de bord ; son équipage est hyper attachant, avec des personnages complètement atypiques dans leur diversité. Ils ont une mission d’observation, donc, au lieu d’aller coloniser, transformer d’autres mondes, ils vont observer d’autres planètes et c’est l’équipage qui est transformé pour pouvoir s’adapter. C’est de la science-fiction à hauteur humaine.