« Méduse ». Un surnom donné jadis par ses sœurs, utilisé depuis si longtemps qu’elle en a oublié son vrai nom. Victime d’une anomalie aux yeux qui fait fuir tous ceux qui l’approche, sa famille décide de la placer dans un institut pour les personnes souffrant de difformités où leurs « bienfaiteurs » sont les personnes les plus cruelles qui soit. Et c’est dans ce climat toxique que Méduse va forger sa plus belle arme et se venger de ses bourreaux.
Un récit résolument féministe, tantôt gothique, horrifique, fantastique, déroutant à souhait qui réussit l’exploit en à peine 200 pages à nous faire passer par tout un éventail d’émotions.
Marine