Alors qu'ils traversent le désert, Andrej et Abou Doun sont attaqués par des bandits, qui tuent leurs chevaux avant de devoir s'enfuir pour échapper aux coups meurtriers des deux immortels. Sans eau, ceux-ci n'ont guère d'autre choix que de les suivre. Dans leur repaire, ils trouvent une cinquantaine d'esclaves, dont une superbe femme noire, qui dit s'appeler Méroé. Andrej et Abou Doun libèrent tout le monde, mais la bande, dont ils ont emmené le chef, Ali Jhin, en otage, les poursuit. Quand ils sont rejoints, Méroé fait... quelque chose, et une tempête de sable anéantit les assaillants, eux-mêmes ne devant la vie sauve qu'au fait de s'être réfugiés dans une ziggourat.
A leur réveil, ils sont seuls, et leurs questions prudentes dans les villages au bord du Nil ne leur permettent pas de retrouver la trace de Méroé et de ses protégés. Aussi s'installent-ils à Umm Mardi, comme gardes du corps du marchand Mustapha Bo. Mais ils n'en ont pas fini avec Méroé...
(...) Espérons que les romans suivants constitueront autant d'heureuses surprises que celui-ci, fort plaisant à lire et qui renoue enfin avec l'intérêt des premiers opus.
Mureliane